Plusieurs femmes ressentent une variété d’émotions suivant un avortement par médicaments qu’inclus le soulagement, la tristesse, la colère ou la tranquillité. Cependant, aucune conséquence psychologique démontre que l’utilisation de médicaments afin d’induire une l'interruption précoce de grossesse est associée avec l’aboutissement de problèmes de santé mentale. Ceci inclus la dépression, l’anxiété, les troubles de sommeil ou les tendances suicidaires.
Au cours des années récentes, il y a eu une augmentation d’attention à la relation entre l’avortement, en générale, et l’apparition de troubles de santé mentale. Quelques études récentes, retrouvées dans la littérature scientifique, ont montré que le risque relatif de développer des problèmes de santé mentale chez les femmes adultes éprouvant une grossesse non planifiée n’est pas supérieur que si elles décident de poursuivre et compléter cette grossesse.